Seuil de Naurouze depuis Avignonet, boucle de 15 km.
Toute randonnée présente un danger:
l'auteur de ce blog ne saurait être tenu pour responsable d'éventuels
accidents survenus avant, pendant, et après lecture de cet article.
Très intéressante balade avec divers points de vue sur l'étendue de la vallée, le seuil de Naurouze et le canal du midi...phare aéronautique, pylone du partage des eaux, ruines diverses ... recommandée, note: 8,1 / 10.
Lundi 29 11 2010, météo excellente: plein soleil, température -2 à 6° C et vent faible.
Détail important: a cette saison, les bières belges emportées dans le sac peuvent être servies à la bonne température.
La température de l'eau de gourde pour le pastis sera testée dès la prochaine sortie ...
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Images: 2006
(Appareil photo défunt, remplacé aujourd'hui même par le très remarquable Canon G12... images à suivre...)
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Tout ce petit monde carburait au vent d'autan ce jour là (printemps 2006)
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Le 22 avril 2010: Étang & col de l'étang d'Appy (Ariège) au départ du parking au dessus du village d'Appy, accès routier entièrement déneigé.
Météo excellente, étang gelé à 95 %, raquettes inutiles (limite pourtant), 1100 m. de dénivelé dont une bonne partie dans la neige - dès l'étang), aucune difficulté technique, pentes assez progressives. Cette randonnée présente un grand intérêt à cette saison, ce lieu étant très connu et trop fréquenté en été. Vallée exposée sud: montée au soleil pour une bonne partie du parcours. Température positive.
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Au départ
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Étang d'Appy
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En montant vers le col de l'étang d'Appy
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But de l'ascension, plongeons la gourde dans la neige pour le pastis !
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La "Dent de Midi"
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Quelques panoramiques, au gré de la montée vers le col.
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. Le 13 avril 2010: Bruniquel - Montricoux - Bruniquel (Tarn & Garonne)
Randonnée de 18 km., exceptionnellement raccourcie à 13 au profit du tourisme:
Balade photographique, détente, récolte de répountchous (tamier), d'asperges sauvages, consommation de produits "de chez nous" : foies gras & vins de terroir, tourisme patrimoine... . .
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Le 6 avril 2010: Étang d'Artats (1695 m.), Pla de Madame (1906 m.), roc de Querquéou (1846 m.), au départ de Gourbit (Ariège)
Dénivelé env. 950 m., Hors auto: 8 heures, itinéraire peu enneigé (raquettes inutiles)
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Orri de berger
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Le St. Barthélémy
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Étang d'Artats (1695 m.)
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Au déversoir, ruisseau de l'étang d'Artats encore recouvert
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1° plan: le pla de Montcamp et le pic du col Taillat, visités le 23 mars
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De G. à D.: le mont Fourcat et le St. Barthélémy
1° plan: la crête du Courtal Terrous
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Extrême droite: Montcalm et Pica d'Estats
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Sur la crête du Courtal Terrous
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De gauche à droite, 1° plan: stade de neige de Goulier et pique d'Endron
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Le 29 mars 2010: le Tuc de Graué, 1417 m, depuis Herran (Hte Garonne)
Randonnée en crête mais très (trop) boisée - env. 90%; du fait, vue limitée et grande difficulté d'orientation, à n'entreprendre qu'avec un altimètre: passage de nombreux sommets d'altitude voisine difficiles à identifier; ou préférer un aller-retour sur la crête. Dénivelé: env. 700 m. La crête, dépourvue de sentier, n'est pas balisée.
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Langueurs matinales du lac Léman
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Vallée de St Gaudens (Hte Garonne)
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Probablement le Valier
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Pollution fumeuse (production de pâte à papier)
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Pause sommitale, restauration et tentative de sieste herbeuse
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La pente s'atténue enfin dans la descente interminable la hêtraie
Le 23 mars 2010: le pla de Montcamp et le pic du col Taillat (1958 m.) au départ du village de Gestiès (Ariège). Source: "L'Ariège en Raquettes" de Laurent Lafforgue (achat conseillé), à compléter cependant, comme toujours, des cartes IGN.
Dénivelé: env.1200 m., raquettes, hors auto: 9 heures tout compris, météo: exceptionnelle, température: positive, vent: nul .
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Les Neiges de l’Oubli
C’est sous la brutalité de ce soleil de printemps qui
décuplait leurs forces qu’ils parcoururent, dans l’épaisse neige de cet hiver si long, des distances qu’ils ne mesuraient plus, raquettes aux pieds sourire
aux lèvres, oublieux des cartes, ignorants de la boussole. Mais,
dans la sécurité mensongère des groupes les plus soudés, leur enthousiasme
aventureux lançait plus leur regard incendié du bleu du ciel vers les horizons
lointains que sur l’entourage de ce paysage, dont la transformation
progressive aurait pourtant dû les alarmer.
Car dans l’immensité blanche des altitudes, les arbres rares
et les roches qui les entouraient présentaient maintenant des formes
inhabituelles, comme si la main géante de quelque créateur de génie, ou de quelque
dieu fou les eût modelés : on eût dit les vastes champs merveilleux des
paradis artificiels, parsemés de roches de cristal et d’arbres de glace, qui décomposaient
la vive lumière du soleil en longs rayons irisés, dont on n’aurait su trouver les
mille couleurs parmi l’arc en ciel lui-même.
Et, sous leurs pieds, l’apparence et la consistance de la
neige subissait aussi la plus étrange des transformations : ses cristaux
grossis, durcis et transparents, produisaient un
indéfinissable murmure argentin qui berçait leur pas, mais aussi engourdissait
leurs esprits, envoûtés par ce doux chant, lancinant et répétitif.
Et c’est alors, comme s’effondre par vagues le sable des
dunes sous les vents chauds, qu’un vaste remous venu des profondeurs de la
terre aspira les voyageurs, qui disparurent de la surface blanche dans une nuée
de cristaux étoilés de soleil, retombant lentement dans le chant des rideaux de
perles de l’orient, avant que le calme glacé ne recouvre à nouveau les lieux.
On ne sut jamais ce qu'il advint de ces aventuriers des hautes
neiges. Certains prétendent pourtant, aux journées les plus froides de l’hiver,
avoir aperçu plusieurs silhouettes de glace à forme humaine, arc-boutées sous
la bourrasque, errant sans fin au cœur des immensités blanches d’un pas
uniforme et lent, sans jamais pourtant avoir pu les approcher...
JCP
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Au départ de Gestiès
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Les Piques Rouges de Bassiès
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La pique d'Endron
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La pla de Montcamp
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La pique d'Endron
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1° plan: le stade de neige de Goulier
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En montant vers le pic du col Taillat
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Depuis le pic du col Taillat (1959 m.)
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Au centre, le Montcalm (3077 m.), toit de l'Ariège
Il s'avèrerait parfaitement erroné d'imaginer les Présidents-Membres (1) de l'ACCM (2) comme de vils monomaniaques, vivant la chaussure lourde et crottée en permanence au pied, vêtus été comme hiver de l'épais polaire, coiffés du bonnet de laine, boussole et carte en main au repas dominical, ignorants et aveugles de tout entourage ou environnement autre que d'altitude, oppressés par l'air chargé des vallées et ne jurant que par cols franchis et sommets vaincus.
A contrario - ces images le prouvent - leur polyvalence est grande, car ces hommes d'exception s'avèrent tout aussi habiles aux pentes raides des glaciers qu'aux rôles théâtraux, comme à l'écoute immensément critique des plus grands orchestres internationaux, passeraient-ils pour les plus talentueux :
Ci-dessous, la remarquable prestation, au cours d'une séance de théâtre des rues fort remarquée de deux éminents Présidents-Membres de l'ACCM (2° et 3° depuis la droite).
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Ci-dessous, deux Présidents-Membres de l'ACCM (2° rang) en pleine écoute critique évaluative au cours d'une des séances du festival des musiques du monde de Beauzelle qui, cette année hélas, ne tint pas toutes ses promesses.
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(1): ACCM: Association pour la Connaissance et la Contemplation des Montagnes (association à but non sportif)
(2): Caractéristique unique sur laquelle repose l'inébranlable fondement de l'ACCM: chaque Membre jouit simultanément du statut de Président, alors que chaque Président jouit dans le même temps du statut de Membre.
Le 16 mars 2010: tour du mail des Morères (altitude max.1552 m.) depuis Antras (Ariège, Biros), effectué précédemment le 14 nov. 2008.
630 m. de dénivelé, raquettes, durée environ 8 heures (arrêts, repas et contemplation compris). Enneigement sur 60 % du parcours, couche de 20 à 60 cm, bonne consistance sauf en de rares endroits exposés sud. Un départ matinal est souhaitable à cette saison (ici vers 8 heures d'Antras). .
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Sentein
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Au départ d'Antras, grange typique du Biros
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Le col des Morères
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Le versant est du col des Morères
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Panoramique du versant est du col
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Le versant ouest du col des Morères
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La cabane de Coulédoux
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Glace ondulée sur le toit de la cabane
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La cabane de Coulédoux aux premières neiges, le 14 novembre 2008, avec le très remarquable "Buck d'Antras", qui en réalité se nomme Chico.
Renseignements pris, ce sympathique animal dont la noble
tâche, moyennant gîte et couvert, consiste à aider l’homme dans ses
travaux d’élevage, s’est pris, comme nous l’avions constaté, de passion subite
pour l’accompagnement des randonneurs, qu’il suit - et parfois guide -, tâche
bien plus divertissante et gratifiante : point de paturon à mordre,
courses folles dans la neige, et le plus souvent nourriture aux saveurs
incomparables dispensées par ces hommes qui savent vivre : avec eux tout
est plaisir.
Aussi on ne voit plus guère Chico au village, il néglige sa
tâche et se consacre plus à la sieste réparatrice d’après-randonnée qu’au
bétail ; pire, suivant parfois certains randonneurs au long cours, ses
maîtres doivent l’aller chercher à des dizaines de kilomètres du village, sans
velléité d’y retourner, ayant établi campement autour de quelque gîte, lieu de
départ privilégié du randonneur qu’il affectionne tant.
Ignorant du travail quotidien et consacrant sa vie au
plaisir, cet animal ne pouvait que rencontrer la plus vive approbation d’un
groupe de retraités-randonneurs comme le nôtre, qui partage et applique déjà largement ces
préceptes !
Pour les connaisseurs: au centre, le mont Fuji-Yama et, tout au loin, la mer des Sargasses.
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Dans le redoutable bois de Laroque
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Au roc du mail de Laroque
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"L'eau ferrugineuse, oui !"
- A consommer avec modération cependant, les eaux de fonte des neiges sont très purgatives ! (grand connaisseur en boissons saines, Bourvil avait raison ...)
Modeste balade d'une dizaine de kilomètres rive gauche de la Garonne, au départ des Quinze Sols, entre Beauzelle et Blagnac, un lieu qui nous est cher:
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Un des étangs des Quinze Sols
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Sentier de bord de Garonne
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Profusion de mouettes, avec quelques goélands, sans oublier canards et cormorans, omniprésents sur le fleuve qui conserve ses îlots.