Les quais rive droite

Depuis la terrasse des Galeries Lafayette

L'arche de la médiathèque José Cabanis

Architecture Haussmann (1809-1891), tout à fait remarquable en vérité.

JCP

Goéland leucophée / embarcadère quai de la Daurade

(Argenté : pattes roses - océan, Leucophée : pattes jaunes - Méditerranée)

Jacobins

JCP

Rouge de brique empli de noble sang,

voyez-le battre : le coeur de Toulouse !

Depuis le toit des Galeries Lafayette

 JCP

Arrêt tram "Île du Ramier" : quais, fac Compans, jardin japonais et Place Wilson

Estreta, n'ès pla.

Université Toulouse 1 : le jardin

Canal de Brienne & Garonne

Taisen Deshimarû, grand maître zen

"Le jardin de pierres, désagrégées par les siècles, avait revêtu une patine si vieille qu'on aurait dit que les pierres avaient toujours été là. Toutefois, leurs formes rigides et angulaires indiquaient qu'il s'agissait d'une oeuvre humaine...

"Rentrons, dit-elle, les pierres commencent à m'effrayer".

Yasunari Kawabata

Acer palmatum japonica

Mahonia

JCP

Les amoureux qui...

Édition 2014 de la "Garona Cup" de l'aviron estudiantin

Prix Nobel toulousain

Édition 2013 de la "Garona Cup' :

http://souliervoyageur.canalblog.com/archives/2013/10/20/28250400.html

JCP

Au fil des rues la tête en l'air...

Rue des Gestes

Rue St Rome

Pl.Capitole

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Deux promenades dans le but précis d'un Non-faire strictement observé au jardin japonais (30 Juillet 2014) ; et du pont St Michel jusqu'au Capitole (21 Août 2014).

Rue du Taur

Chaussée St. Michel

Capitole : salle des Illustres (détail)

Salle des mariages (relations influentes ou liste d'attente)

Place du Capitole

De G à D : pont du Halage de Tounis, île du Ramier, écluse St Michel, pont St Michel (voir carte ci-dessous)

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Évolution du nom des rues à Toulouse

La rue Pharaon :

Contrairement à ce que son nom indique, la rue Pharaon n'a aucun lien avec l'Égypte, mais avec Ramundi d'Alfaro, bailli du comte Raymond VII. Cette rue se nommait "Rue d'Alfaro". Une des rues typiques de la ville, peuplée de petites boutiques originales.

Autre exemple - nettement orienté désoccitanisation - (Napoléon Trois s'illustra fortement en dérégionalisation, les Bretons lui conservent toujours rancune) : La rue de Varsovie (quartier St Cyprien), qui n'a jamais eu rien à voir non plus avec la Pologne, puisqu'elle se nommait "Carrièra versa vi", ce qui signifie tout simplement "Rue verse-vin" en occitan. Des tonneaux et des caves, non la Pologne !

Rue des Filatiers ; au fond : la rue Pharaon

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Photo animalière en ville - pourquoi pas...

Écluse St. Michel

Un "coup du roi" presque parfait... (netteté insuffisante)

Image ci-dessous : "- Mwwrôôââkkk !" (En langage goéland "Hors de mon soleil, sale humain !".)

Sévère attaque concertée de deux goélands leucophée (couple probablement) visant à éloigner l'intrus photographe.

Abandon à l'issue de la seconde vague, plus résolue encore dans le cri et le piqué au ras des cheveux !

 - Hein, que je suis beau - Moi -, Goéland, roi du fleuve et des airs toulousains !

Goéland var. Leucophée, venu des côtes méditerranéennes (pattes jaunes - le goéland argenté de l'océan les a roses).

Tout le Capitole en plein soleil toulousain dans un verre de bière à l'ombre (pas fou, le buveur...)

A la bière

Infusée d'or et de douce amertume,

éclose de ma soif gourmande

une mousse vit en toi,

qui déjà se pose

à ma lèvre apaisée.

Et c'est les yeux fermés,

dans le silence d'un mental qui se calme,

que tu fais naître en moi

l'extase que les dieux

ne connaîtront pas.

JCP 04 2014

JCP

Oie bernache nonnette, plus petite que la bernache du Canada, aux berges de Garonne sous le pont St Michel - qui ne vaut pas le pont Mirabeau - de loin s'en faut :

"Sous le pont Mirabeau coule la Seine

et nos amours faut-il qu'il m'en souvienne

la joie venait toujours après la peine

vienne la nuit sonne l'heure

les jours s'en vont  je demeure

...etc"

Guillaume Apollinaire

Percée marquante à l'encontre de  la faune toulousaine, lors d'une après-midi d'éreintantes recherches quant à l'exacte substance du Rien-faire... qui n'aboutit guère - le Rien-faire est insaisissable et demande plus de temps que le temps n'en saurait fournir...en vérité.

Rappelons ici le vieil adage :

Tout comme le marin,

le retraité ne fait rien.

Et comme lui pour le bien faire

il se lève matin,

car le Rien-faire est un art

pratiqué lentement.

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